Non, je ne soigne pas les animaux ni d’autres espèces, car je considère que je n’en ai pas les capacités. Avant tout, il est important de revoir l’éducation des maîtres ainsi que l’environnement dans lequel vit votre compagnon. Si un animal tombe malade, cela est souvent lié à son environnement, au stress que nous lui imposons et à la nourriture qu’il reçoit. Améliorer l’état de santé d’un animal nécessite que les maîtres prennent conscience de ces facteurs et ajustent leurs comportements, car aucune intervention ne sera efficace tant que l’environnement et les habitudes ne sont pas corrigés.

C’est une question très attendue pour certains. Avant tout, il est important de comprendre la définition de la maladie. La maladie est souvent la conséquence de plusieurs facteurs corrosifs pour le corps humain, et notre état de santé dépend de nombreuses influences extérieures et intérieures. Je peux apporter un soutien énergétique en lien avec la maladie, mais il n’est en aucun cas garanti que cela suffise à guérir une personne atteinte d’une maladie déjà avancée, comme le cancer. Lorsque la maladie a épuisé et affaibli l’organisme, il est crucial de reconnaître que l’énergie transmise peut soutenir le bien-être global, mais ne doit pas être considérée comme un traitement curatif. Mon approche ne vise pas à fatiguer davantage le corps, mais à l’accompagner avec douceur dans un processus de rééquilibrage énergétique.

Non, je ne traite pas les pathologies chez les enfants. Je crois qu’un enfant ne doit pas être pris entre deux feux, entre la médecine classique et une guérison supposée grâce aux magnétiseurs, souvent perçus comme des gourous ou autres. Restons sérieux dans notre pratique. Apporter du réconfort aux enfants hospitalisés, leur offrir un sourire ou un moment de joie est souvent la meilleure thérapie à leur offrir. Mon rôle, dans ces cas, est de soutenir l’espoir en la médecine et ses avancées scientifiques. Organiser des cercles de bienveillance et de vibrations positives, en comité restreint et loin des jeunes, peut être une solution complémentaire, mais toujours avec prudence et en respectant leur situation.

Cependant je fais une exception dans la gratuité sur les brûlures chez les enfants et les bébés nécessitent un soin tout particulier juste ici.

C’est une excellente question ! Si j’avais un don, ce serait sans doute celui d’attirer toutes sortes d’ennuis dans ma vie ! Et rassurez-vous, je ne suis pas à l’abri de me cogner violemment contre le pied d’une table basse, comme tout le monde. Ce que je veux dire, c’est que le seul “don” que j’ai vraiment eu, c’est celui d’avoir eu l’audace de changer de vie. J’ai quitté le confort d’un cadre bien rémunéré avec voiture de fonction pour me lancer dans une voie un peu plus incertaine financièrement, mais sans aucun regret.

Je n’ai jamais autant aimé la vie que celle que je mène aujourd’hui. Et malgré les obstacles, les désillusions et les moments de manque, c’est ce qui constitue la clé d’une réussite intérieure. Une fois qu’on comprend cela, on ne se tourne plus vers le passé – ce qui est passé n’est plus – et on ne se projette pas uniquement dans l’avenir. On façonne son avenir.

À un moment donné, j’ai décidé de me consacrer aux plus démunis, dans un sens large, pour mieux comprendre mes propres besoins. Pourquoi ? Parce qu’on ne peut pas vraiment refléter nos actions ou nos valeurs en restant assis dans le confort de son canapé un dimanche, devant une télévision pleine de désinformation. Il faut sortir de sa zone de confort, aller vers l’autre, vers la difficulté, et surtout, affronter la peur. Celle de voir des personnes si malades qu’on réalise que notre seule différence avec elles, c’est d’être en bonne santé. Tout le monde n’a pas cette chance, qu’importe la richesse. Nous sommes d’accord, non ?

Je me pose souvent cette question moi-même. Ai-je vraiment ces capacités si recherchées ? Laisse-moi te raconter mon parcours initiatique, qui a commencé de manière assez inattendue. Tout a débuté comme un défi un peu idiot, je dois l’avouer. J’ai décidé de devenir aide-soignant, pas pour des raisons profondes, mais surtout pour impressionner certaines connaissances… et peut-être un amour passé, que je remercie d’ailleurs au passage !

Je voulais prouver que tous les métiers ont leurs difficultés, quel que soit le niveau de salaire, les fonctions ou les diplômes. Alors, dans ma tête, je me suis lancé cet objectif totalement absurde, et pourtant… cela m’a mené à la révélation la plus totale de qui j’étais réellement.

Vous voulez un aperçu ? Oh, je pense bien que oui. J’ai intégré, presque malgré moi, un poste d’aide-soignant sur recommandation d’un ami, un ancien franc-maçon du 11e degré (un détail qui n’avait pas grande importance à l’époque, mais qui, avec le temps, a pris un tout autre sens).

Ce qui est venu après est complètement fou. Mais pour en savoir plus, je vous invite à découvrir toute l’histoire dans ma Masterclass, disponible via ce lien.