Comment je ressens l’énergie d’une douleur
Par Jonathan – magnétiseur, canal vibratoire
Par Jonathan – magnétiseur, canal vibratoire
Quand une personne vient me voir pour une douleur – qu’elle soit dans le dos, dans l’épaule, dans le ventre ou ailleurs – je sais que ce n’est jamais “juste” une tension mécanique.
Je ressens la douleur comme une information codée dans l’énergie, un signal de l’âme ou du corps qui tente de s’exprimer autrement. C’est un peu comme une voix intérieure qui crie dans le silence, et que je traduis à travers mes mains, mes perceptions et ma présence.
Dès que mes mains s’approchent d’une zone douloureuse, je ressens :
Un changement de température (froid anormal, ou chaleur excessive)
Une variation de densité (comme un nœud dans l’air ou une onde de résistance)
Parfois, un picotement fort ou une pulsation, signe que l’énergie est en stagnation ou en surtension.
C’est là que je pose une attention particulière. Je n’essaie pas d’enlever la douleur comme on enlève une tache. Je l’écoute. Car souvent, elle porte une histoire : choc émotionnel, injustice vécue, surmenage, culpabilité enfouie.
Une fois connecté (j’ai ma technique bien définie), je perçois des images, des mots silencieux, des mémoires parfois très lointaines!. Certaines douleurs ont une origine ancienne : une colère non exprimée dans le foie, un deuil dans le plexus solaire, une peur logée dans les reins.
Mais je ne cherche pas à “mentaliser”. Mon rôle n’est pas de diagnostiquer, mais de relancer la circulation de la vie là où elle s’est figée par un courant “électrique”. Et souvent, dès que cette circulation reprend, la douleur s’allège ou se déplace plus fermement – signe qu’un dégel énergétique a commencé.
Je reste dans le non-jugement total. Car une douleur peut être une protection. Certaines personnes ne sont pas prêtes à la laisser partir… pas tout de suite. Et c’est OK.
Je propose alors un travail en douceur, par vagues : poser la lumière, libérer un peu, laisser intégrer. Parfois, la douleur revient : elle veut être entendue encore. Ce n’est pas un échec, c’est une pédagogie de l’être tout entier.
Ressentir l’énergie d’une douleur, pour moi, c’est rencontrer une partie blessée de la personne, sans l’envahir. C’est lui tendre la main, sans jamais forcer sa guérison, mais en lui rappelant qu’elle a le droit d’exister autrement que dans la souffrance.
Et parfois, la magie opère : la douleur se dissout, comme si elle avait été enfin reconnue.
Mon don ou mon pouvoir, comme certains le nomment, réside dans ma capacité à interagir profondément avec l’état d’esprit d’une personne. C’est peut-être pour cela que l’on me surnomme parfois “le magicien”.
Lors d’un soin, je ne me contente pas de poser mes mains. Je travaille avec l’intention, la visualisation, et la conscience, dans une approche que je qualifie de kabbalistique et vibratoire. Très souvent, c’est le psychisme que je contacte en premier. Et c’est à partir de ce point central que certains déséquilibres physiques commencent à se transformer.
Il m’arrive de fusionner magnétisme et coaching intensif, lorsque la personne est prête. Dans ces instants précis, un déclic peut survenir et le changement s’enclenche.
Chez certains, la transformation est immédiate, puissante, définitive. Chez d’autres, elle s’installe progressivement, sur plusieurs jours ou semaines, comme une graine invisible qui pousse doucement.
Plusieurs m’ont dit ensuite ne plus se reconnaître. Non pas qu’ils aient perdu quelque chose… mais qu’ils se soient retrouvés, avec une vision plus claire de leur vie, et une force nouvelle, inébranlable.
Pourquoi cela se produit-il ainsi ? Je ne le sais pas. Je ne force pas et je laisse faire ce qui est juste. Et parfois, la Chimie Holistique fait le reste.
Ma pratique ne se limite pas à imposer les mains. J’y intègre des visualisations d’inspiration kabbalistique, des intentions vibratoires précises et une lecture intuitive du psychisme. Ce cheminement holistique unique, je l’explique en détail dans cet article : 👉 Comment je mets en pratique ma séance ?