L’éveil de la bienveillance

Revenons sur ce parcours

Pourquoi le nommé “L’éveil de la bienveillance” 

Après mon passage aux urgences, je cumule des postes d’aide-soignant dans la région Drouais et des petits contrats aux urgences d’un autre hôpital dans les Yvelines, de nuit. Puis, une proposition inattendue surgit : un appel pour un poste en imagerie sur Rambouillet, alors même que je travaille déjà comme agent hospitalier ailleurs. Ce fut un tournant, où la “magie” semble opérer à nouveau, m’amenant vers une rencontre surprenante qui allait encore changer mon chemin.

Une rencontre magique ?

Sans aucun doute. Par un de ces hasards mystérieux, alors que je continue à progresser dans différents services, tant aux urgences que dans d’autres missions, je croise un homme qui m’avait déjà marqué par ses mots : “Il nous faut des mecs comme toi chez nous”. Ce matin-là, au détour d’un couloir, il me relance : “Cherches-tu un poste ? Au bloc opératoire peut-être, pour une durée indéterminée ?” Il prend mes coordonnées et disparaît rapidement, comme un signe venu d’ailleurs.

Ce monsieur, aussi rapide qu’il est fidèle à ses paroles, je suis appelé l’après-midi même. Comme promis, je suis contacté pour le poste de brancardier au bloc opératoire de l’hôpital. Était-ce de la chance ou cet homme un peu mystérieux qui orchestrait tout ça ? Quoi qu’il en soit, je me retrouve face à un dilemme cruel : accepter ce poste au bloc, ou celui d’aide-manipulateur, une autre opportunité venue la même semaine. Que faire ?

Alors je me dis : “Pour une fois, essayons de négocier”. Après tant de galères et de désillusions dans ce monde souvent inhumain pour les petits soignants, je voulais sortir de cette routine de contrats d’un mois constamment renouvelés, parfois pendant des années, sans jamais de stabilité. Après plusieurs années d’incertitude, il était temps d’essayer de sécuriser une situation plus stable.

Après des négociations avec les directions des deux établissements, je fais le choix d’intégrer le prestigieux bloc opératoire. Je quitte donc mes petits contrats ailleurs pour me consacrer pleinement à ce nouveau poste. Bien sûr, des inquiétudes subsistent, mais la peur n’existe plus pour moi. Après avoir été intégré de façon presque précipitée à divers postes et environnements, je me sens maintenant en confiance. J’ai trouvé l’équilibre tant recherché, et avec un bagage solide, je franchis la porte du bloc avec détermination.

Ce ressenti

Pour être honnête, 

j’ai été totalement surpris en arrivant dans ce nouveau service. C’était un environnement complètement différent de tout ce que j’avais connu, bon ou mauvais. Ce matin-là, lors de mon intégration, j’ai découvert quelque chose que je n’aurais jamais pu imaginer à ce stade de ma vie. C’était un véritable choc. Je pense que vous aimeriez bien savoir comment cela s’est déroulé, non ? Une expérience inattendue, à la fois captivante et déstabilisante.

Je suis entré dans un univers bleu, où tout le monde—brancardiers, aides-soignants, infirmiers, et même médecins—portait la même tenue. Aucune distinction visible entre les rôles. C’était un environnement où tout le monde se disait bonjour à chaque instant, partageait la nourriture apportée de chez eux, et où les cadres de santé restaient concentrés sur une organisation fluide. Bien sûr, il y avait quelques irréductibles qui pensaient être meilleurs, mais pour la première fois, cette minorité était presque invisible, tant l’ambiance était positive et presque angélique.

Donc pour ne pas changer, 

Me voilà encore une fois, du jour au lendemain, brancardier dans ce service. Mais cette fois, c’est différent : ici, le rôle de brancardier est essentiel, et non pas celui d’un simple exécutant. Notre mission est de conditionner et de rassurer les patients avant leur entrée au bloc, en leur apportant un peu de réconfort et de joie. Ensuite, à leur sortie, nous veillons à ce qu’ils se sentent en sécurité, en les ramenant à leur chambre avec le plus grand soin et en prenant toutes les précautions nécessaires.

L’épopée de la souffrance physique est toujours présente, car certains lits sont lourds, et les contraintes tout autant. Mais… quand on travaille dans un service aussi agile et performant, où la philosophie est positive et où chacun prend soin des autres, cela change tout. Les médecins, dans leur grande majorité, sont humbles et précis, cherchant uniquement à guérir les patients à travers l’opération, la solution ultime. Je ne regrette pas d’avoir quitté les urgences de Chartres. Comme le disent certains : “Une porte se ferme, d’autres s’ouvrent.”

C’est précisément à cet instant que mon magnétisme a pris toute son ampleur. L’ambiance du service, les énergies positives entre collègues, et la connexion avec les patients ont joué un rôle clé. Certains me demandaient de poser mes mains sur leurs douleurs, et souvent, celles-ci disparaissaient presque par magie. Des patients croisés plus tard, souriants, me remerciaient, mais surtout ils exprimaient leur gratitude envers tout l’hôpital pour la réussite de leurs opérations. Ce cercle d’énergie positive a fait monter mon taux vibratoire à des niveaux supérieurs.

Sérieusement, je ne pourrais en dire plus, car j’ai l’impression de toucher presque le Graal. Grâce à mes expériences à Chartres, Dreux et Rambouillet, particulièrement dans les services de réanimation, j’ai vu l’excellence en matière de prendre soin. Dreux et Rambouillet se distinguent pour moi par leur gentillesse, leur professionnalisme, et l’unité de leurs équipes. J’ai travaillé dans une dizaine d’hôpitaux, mais ces deux lieux ont offert une expérience à la fois professionnelle et spirituelle, avec une véritable philosophie du soin ancrée dans l’humilité.

Étape philosophique

Pourquoi une telle étape à ce moment-là ? L’augmentation de mes perceptions, de mon esprit divinatoire, et cette illumination quasi constante m’ont permis de visualiser l’invisible et de comprendre les douleurs des gens sans même parler. Cela me conduit à une remise en question profonde de mon alignement interne. Je réalise qu’avant d’atteindre des résultats probants, il faut un rééquilibrage philosophique : constance dans le travail, méditation intense, et une adaptation permanente de mes actions selon le contexte et les personnes.

Pour revenir à mes fonctions premières dans ces deux hôpitaux, la richesse des échanges entre collègues, la fluidité des tâches, et surtout cette aura presque surnaturelle m’ont marqué. Je ne sais comment l’expliquer, mais il me semblait que l’intention de bien-être que je portais influençait l’ambiance générale. Cependant, je pense que c’est aussi grâce à ces lieux et aux personnes présentes. Peut-être y avait-il une connexion réciproque entre mon intention et l’énergie environnante. En tout cas, merci à tous et toutes!

Une fois n’est pas coutume

Étape 1 : Fin du parcours dans ces groupes hospitaliers

Bon, vous l’avez compris, une fois de plus, l’appel arrive. Encore un coup du destin, une personne bienveillante m’appelle avec une nouvelle proposition de poste, et me voilà devant une nouvelle opportunité, de nouvelles fonctions à découvrir. Le téléphone sonne, je décroche… et là ? Que faire ? L’appel résonne, comme un signe, une nouvelle voie qui s’ouvre. Peut-être le début d’une autre aventure, une autre étape dans cette quête de sens et de soin.

Je ne vais pas vous mentir, j’ai fini par accepter, mais un peu à contre-cœur. Ce n’était pas une fuite, ni par crainte de ne pas voir mon contrat renouvelé. Non, cette fois, c’était une décision mûrement réfléchie. En fait, le devoir m’appelait, comme un aimant attiré vers cette nouvelle opportunité. Peut-être est-ce cette soif inextinguible d’apprendre et d’affronter des défis qui me pousse à agir ainsi, comme un rêve éveillé. Et franchement, j’adore l’adrénaline du risque !

Voilà, voilà, je termine ici avec mes “histoires”. J’ai volontairement réduit le sujet pour vous partager les étapes clés de mon développement interne et personnel. À partir de maintenant, nous allons entrer dans le vif du sujet : le véritable éveil spirituel et le magnétisme. Une masterclass dédiée à ces pratiques vous attend. Je vous remercie de m’avoir suivi jusque-là, et je vous dis à très bientôt pour la suite !

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