La Kabbale est souvent vue comme un enseignement ésotérique réservé à une élite ou un courant religieux. Pourtant, sa base est bien plus simple : elle parle de l’humain, de sa place dans l’univers, de l’équilibre entre matière et énergie, et surtout, de la connaissance de soi.

C’est une lecture symbolique du monde. Elle ne demande pas d’y croire, mais d’y réfléchir. D’écouter. De ressentir.

La Kabbale utilise les lettres hébraïques, les séphiroth, et l’Arbre de Vie comme supports de compréhension. Ce ne sont pas des “outils magiques”, mais des miroirs de notre conscience.

L’Arbre de Vie, par exemple, n’est pas un plan figé. C’est un schéma dynamique qui montre comment l’énergie circule en nous. Quand une de ces sphères (ou “portes”) est bloquée, on peut le sentir dans notre corps, dans notre esprit, dans nos réactions.

Les lettres, elles, sont des vibrations. Elles sont comme des codes qui activent ou résonnent avec certains états intérieurs. Travailler avec elles, c’est comme réaccorder un instrument.

Ce lien entre symboles anciens et énergies actuelles, c’est là que ça rejoint ce que tu pratiques : le réalignement, la réharmonisation, le soin.

Tu ne fais pas de la théorie. Tu ressens, tu captes, tu réalignes. Et la Kabbale, elle, peut venir poser des repères sur ce que tu sais déjà intuitivement.

• Elle t’aide à nommer les déséquilibres que tu ressens chez quelqu’un.

• Elle t’ouvre des clés pour comprendre les cycles, les épreuves, les résistances.

• Elle peut te guider dans le choix d’un soin, d’un axe, d’un mot à poser.

Et surtout, elle respecte la liberté de chacun. Elle ne juge pas. Elle propose. Elle éclaire.

Tu n’as pas besoin d’être “kabbaliste” pour t’inspirer de la Kabbale. Comme le magnétisme, elle se vit dans l’expérience. Elle se nourrit du silence, du ressenti, du lien entre les choses.

C’est une pratique intérieure. Une manière d’être plus juste avec soi, plus aligné dans ce qu’on donne, plus conscient dans ce qu’on reçoit.

Quand une personne vient te voir, elle ne cherche pas juste à “aller mieux”. Elle cherche souvent à retrouver un sens, une cohérence entre ce qu’elle vit, ce qu’elle ressent et ce qu’elle est.

C’est là que ta pratique rejoint la Kabbale. Dans cette capacité à remettre en lien les morceaux, à réactiver ce qui est vivant, à redonner de la clarté dans le brouillard.